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Loueurs en meublés : Fin du micro-social dès 2026, ce qu’il faut savoir

  • Photo du rédacteur: T2F Groupe
    T2F Groupe
  • 5 sept.
  • 2 min de lecture

Le statut de loueur en meublé a longtemps séduit par sa simplicité, notamment grâce au régime micro-social qui permettait de calculer ses cotisations sociales de manière allégée. Mais à l’horizon 2026, un véritable tournant s’annonce. Le Bulletin Officiel de la Sécurité Sociale (BOSS) vient de rappeler la fin de la période de tolérance : les règles d’éligibilité vont être durcies, et de nombreux bailleurs devront se tourner vers une gestion beaucoup plus complexe.


Dans cet article, nous faisons le point sur les changements à venir, leurs conséquences, et les précautions à prendre pour éviter toute mauvaise surprise.


2025, une année de transition

Pour les revenus de 2025, le législateur maintient, à titre transitoire, les anciens seuils d’éligibilité au régime micro-social.


Ainsi, restent éligibles :

  • Les loueurs en meublés non classés dont le chiffre d’affaires 2023 et 2024 n’excède pas 77 700 €,

  • Les chambres d’hôtes dans la limite de 188 700 €.


Concrètement, un loueur qui dépasse les nouveaux seuils posés par la loi de finances 2024 peut encore bénéficier du micro-social en 2025. Cela crée un décalage notable avec le régime micro-fiscal, beaucoup plus restrictif.


Loueurs en meublés 2026 comptabilité

2026, le grand basculement

À compter du 1er janvier 2026, les nouveaux plafonds entreront en vigueur :

  • 77 700 € pour les chambres d’hôtes,

  • 15 000 € seulement pour les loueurs de meublés de tourisme non classés.


Ainsi, dès lors qu’un loueur dépasse ces seuils deux années consécutives (2024 et 2025), il sera contraint de quitter le micro-social et d’opter pour une déclaration au réel.


Un régime micro-entreprise condamné pour les meublés non classés

Le seuil d’affiliation des loueurs de meublés non classés en tant que travailleurs indépendants étant fixé à 23 000 €, une incohérence apparaît :

  • En dessous de 23 000 €, le bailleur reste soumis aux prélèvements sociaux sur revenus du patrimoine (17,2 %),

  • Au-delà de 23 000 €, il bascule obligatoirement dans le régime des travailleurs indépendants, avec cotisations calculées au réel.


En clair : A partir de 2026, les loueurs de meublés non classés n’auront plus accès au régime micro-social.


Une comptabilité simplifiée qui disparaît

Dernier point d’importance : la fin de la comptabilité simplifiée pour ces bailleurs. Dès 2026, ils devront obligatoirement adopter une comptabilité commerciale, avec tenue d’un livre-journal, grand livre, inventaire et bilan annuel. Un changement qui nécessitera bien souvent l’accompagnement d’un expert-comptable spécialisé en immobilier.





La fiscalité et la protection sociale des loueurs en meublés se complexifient à partir de 2026. Les investisseurs doivent dès aujourd’hui anticiper la fin du micro-social, repenser leur stratégie, et envisager un accompagnement professionnel pour optimiser leur fiscalité tout en respectant les nouvelles obligations comptables.


Ne pas anticiper, c’est risquer un redressement coûteux et une mauvaise gestion de ses revenus locatifs.


Sources :



Expert comptable spécialiste immobilier toulouse

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